Amandine Glévarec – Cher Alexandre, tout d’abord peux-tu nous en dire plus sur ton parcours personnel, scolaire et professionnel ?
Alexandre Grandjean – J’aime varier les casquettes (les bérets plutôt !). J’ai commencé ma carrière en étant un étudiant en Lettres contrarié. Je n’ai jamais compris quel plaisir on pouvait avoir à disséquer la mécanique des textes avec autant de minutie, et être satisfait de cela. Et puis, je me rappelle de ce cours sur Paul Éluard où j’avais choqué la professeure en déclamant le texte comme l’aurait fait Léo Ferré, « en le défénestrant ». Ce n’était manifestement pas ma place, ni même mon destin. Continuer à lire … « Hélice Hélas »