Un pas en arrière devant la Parisienne, un pas en avant vers la Mexicaine, que je ne connais pas, ou peu, ou mal, par fragments, visions furtives, ouï-dire. Un pas en avant, puis deux, et puis trois, et la foulée rapide, et le cœur qui chamade. Continuer à lire … « Rien n’est noir – Claire Berest »